Nous suivons le marché des automobiles de collection de près afin de donner à nos clients la plus haute qualité de conseil. Nous rédigeons nos articles régulièrement sur les sujets d'actualités et les modèles de voitures de collection que nous suivons.
Cette 45e édition du salon Rétromobile marque-t-elle un tournant pour le prestigieux rendez-vous parisien ? Ses premiers supporters sont en train de passer le relai à une génération de collectionneurs et amateurs plus jeunes.
Ces derniers trouveront-ils les mêmes pépites dans le salon actuel ? Décryptage des tendances de la collection automobile à travers l’offre de voitures présentées au salon.
Avant toute chose, un peu de légèreté : si le plaisir avait une unité de mesure, alors toutes les autos évoquées ici seraient ex-aequo. Pour la simple raison que nous avons chacun notre propre jauge ! Faut-il chercher à comparer ce qui avec le temps devient décalé et unique. Autant, lors de leur prime jeunesse, Triumph TR3, Mercedes 190 SL, Alfa Romeo GTV ou Alpine A310 avaient droit à une évaluation en bonne et due forme, à coup de débitmètre, sonomètre et autre. Autant un demi-siècle plus tard, il est vain de chercher à établir un classement. Car la seule jauge qui compte est désormais celle qui résonne quelque part dans les tréfonds de notre hypothalamus. Nous proposons ici une typologie émotionnelle dans laquelle chacun pourra reconnaître tout ou partie de situations automobiles déjà vécues… Vive la diversité automobile, et bonne lecture !
« Tout vient à point à qui peut attendre », s’il n’était dans les mots du Pantagruel de Rabelais, pourrait être la devise de la maison de Conventry, tant sa berline XJ s’est bonifiée avec le temps. Celle dont on a fêté avec glamour les 50 printemps cette année n’a pas toujours été en odeur de sainteté chez les collectionneurs. Pourtant le Groupe Jaguar Land Rover la sort désormais de la naphtaline pour décorer ses stands de Rétromobile au Mans Classique.
Une ré-édition limitée de la version originelle viendra-t-elle bientôt parfaire cette stratégie de ré-habilitation bien rôdée, et donner un petit coup de pouce aux cotes en collection ?
Lors du premier achat d’une automobile dédiée au « plaisir », qu’elle soit de collection, de sport, de prestige, ou youngtimer, il n’est pas simple d’élaborer son cahier des charges, surtout quand la contrainte financière est forte. L’envie l’emporte souvent sur la raison, et ce n’est que quelques mois plus tard avec les premières déconvenues que l’on commence à apprendre de ses erreurs. Quelques conseils issus du retour d’expérience de ceux qui ont déjà franchi le pas et de notre expérience quotidienne de consultant automobile.
Certaines autos iconiques sont devenues impraticables au niveau tarif. Quelques grammes de culture automobile et un zest d’esprit d’aventure vous permettront de trouver des alternatives attractives et attachantes. Sortons des sentiers battus !
Au moment de chercher une auto plaisir, nous pensons en général à des autos déjà bien connues qui font référence dans leur domaine. Ainsi pour une sportive, la Porsche 911 toutes générations confondues sera probablement l’association d’idée la plus évidente. Pour une berline youngtimer, la BMW série 3 (E30 ou E36), pour un cabriolet anglais classique l’incontournable MG B, ou pour une italienne pur jus le coupé Bertone (GT Giulia) chez Alfa Romeo.
Au moment d’acquérir un véhicule de collection ou véhicule plaisir, les choix à faire sont multiples. Carte grise normale ou collection ? Contrôle technique ? Assurance ? Nous traiterons ici des différentes possibilités avec leurs avantages et inconvénients, tout en remettant en place les idées reçues et parfois fausses qui circulent sur ces questions.
Le mot est à la mode dans les chroniques loisirs comme dans les articles des revues automobiles. "Youngtimers " : ce vocable marque-t-il un nouveau phénomène ou relève-t-il du néologisme ? Où situer la frontière avec les « Oldtimers », mot inusité chez nous mais dont sont friands nos voisins européens ?
Récemment piqués par la couverture d’un renommé magazine sur laquelle figurait en belle place une Citroën SM (un modèle rappelons-le, présenté au salon de Genève 1970) aux côtés d’une Fiesta Mk3 (1989) et d’une Maserati Biturbo (1981), nous vous proposons de faire un peu de tri parmi toutes ces appellations d’origines non contrôlées !
Cette édition 2018 du doyen des salons de l’automobile de collection est l’occasion de faire le point sur le marché, avec comme juge de paix les transactions affichées lors des ventes publiques. Notre regard s’est porté sur la vente Artcurial parce qu’elle est à nouveau représentative du marché et du savoir-faire d’un acteur français majeur, même s’il y avait de très beaux modèles chez les deux concurrents anglo-saxons. Les résultats sont encourageants : 86% de lots vendus dont 40% au-dessus de l’estimation basse, après des années 2016-1017 en demi-teinte faute à une inflation des catalogues et aux disparités importantes dans la qualité du matériel présenté.
La valeur de marché d’une automobile dépend du rapport entre sa disponibilité et sa demande. Les automobiles de collection n’échappent pas à cette règle économique, mais l’évolution parfois rapide de leur cours reflète aussi l’impact d’autres composantes comme les goûts de leurs acquéreurs ou l’évolution de leur rareté. C’est à ce dernier phénomène que nous allons nous intéresser aujourd’hui, en observant les volumes de production des marques de luxe depuis 2000 par rapport à leurs niveaux historiques.
Jusqu’où aller dans une restauration, et comment anticiper le rendu d’une automobile à l’issue de travaux en général longs et coûteux ? Nous vous proposons ici de cerner le sujet autour de quelques questions essentielles illustrées à travers un modèle exceptionnel et peu courant dont deux exemplaires seront à vendre pendant le salon Rétromobile : la Horch 853 Sport Cabriolet.
Le Coupé 4200 GT marque le retour en force de Maserati dans la catégorie des voitures de grand tourisme au caractère bien trempé. C’est précisément ce type de machine qui a forgé le succès commercial de Maserati dans les années 60, avec des modèles comme la 3500 GT, véritable première Maserati de route en 1957, puis la lignée des coupés 4 places à moteur V8, Mexico, Indy et Kyalami.
Le 4200 GT est aussi le symbole de l’union jadis inconcevable des deux rivaux historiques de Modène : Ferrari et Maserati. La marque au trident, rachetée par Ferrari en 1997, a d’abord eu droit au support engineering de la maison de Maranello, surtout pour moderniser les ultimes générations de Quattroporte IV (V6 et V8 Evoluzione) et de Ghibli II.
Avec l’adoption définitive de la loi de finances 2018, deux nouvelles taxes viennent grever le coût des cartes grises pour les véhicules d’occasion. C’est essentiellement la nouvelle taxe de luxe qui va pénaliser les voitures de plus de 36 cv non éligibles à la carte grise collection. Quant à la nouvelle surtaxe sur les occasions, elle viendra renchérir la carte grise pour les véhicules sportifs de moins de 10 ans. De quoi faire réfléchir les spéculateurs hâtifs ?
Jaguar fait partie de ces quelques marques automobiles qui ont su redéfinir le paradigme automobile bien avant ses concurrents. La valeur très forte de certains de ses modèles aujourd’hui n’est pas étrange à cela. La lignée des XK a défini dans l’immédiat après-guerre le concept d’une voiture de sport glamour et d’excellent rapport prix-performances. La lignée des XJ a inventé la limousine sportive moderne (pensez juste aux performances d’une XJ12 à son lancement en 1973…). Le tout ponctué d’une présence et d’un palmarès soutenu sur les pistes d’endurance. Mais qu’en est-il du coupé XJ-S ? Boudé à sa sortie après la talentueuse E-Type, et longtemps rangé du côté des mal-aimées, il est en fait un formidable succès commercial et un double pied de nez à ses concurrents et à ses actionnaires pour qui connait son histoire... !
Le tiercé gagnant de cette vente est assez révélateur de la disparité des tendances actuelles. Dans un marché quelque peu déstabilisé par la volatilité de certaines autos - et Citroën n'a pas échappé à cette tendance avec notamment les DS et certaines 2 CV - les collectionneurs avisés recherchent de plus en plus l'original.Et il y en avait pour qui savait chercher dans cette vente des réserves de la collection Citroën.
D'où un tiercé des plus hautes enchères étonnant avec 1 classique, un concept-car et une youngtimer !
Rien de tel que les chiffres pour objectiver un sujet généralement peu traité en profondeur dans le monde de la collection. Alors combien ça coûte ? Nos cas réels ont été choisis de façon à refléter la diversité des situations, aussi bien en matière de modèles, que de qualité de l’objet ou d’intensité d’utilisation.
Tous les postes de dépenses ont été décortiqués et enregistrés de façon à obtenir des données comparables. Seul le poste de parking n’a pas été pris en compte, car sur ce sujet ce sont plus les coûts immobiliers d’une ville à l’autre qui vont jouer, et chacun saura ajouter ce qui lui convient.
Le Conservatoire Citroën met en vente un certain nombre d'autos et de pièces issues de ses archives. Cette opération permettra de financer des projets de préservation du patrimoine tout en libérant de l'espace. La vente est originale car elle comporte un certain nombre de maquettes de styles et des véhicules de pré-série potentiellement immatriculables avec de très faibles kilométrages. Quelques objets issus des usines méritent aussi le détour pour les collectionneurs chevronnés !
La traditionnelle vente aux enchères du salon lyonnais Epoqu'Auto réalisée par Osenat montre à nouveau le retour à l'équilibre sur le marché des belles sportives. Ce qui a été vendu est parti à des prix qui nous rappellent que les arbres ne montent pas jusqu'au ciel. Et les quelques modèles spéculatifs présentés ont été vendu parce que précisément ils n'étaient pas entre les mains de spéculateurs pressés de réaliser leur retour sur investissement, mais de collectionneurs de longue date.
Rien de tel que les chiffres pour objectiver un sujet généralement peu traité en profondeur dans le monde de la collection. Alors combien ça coûte ? Nos cas réels ont été choisis de façon à refléter la diversité des situations, aussi bien en matière de modèles, que de qualité de l’objet ou d’intensité d’utilisation.
Tous les postes de dépenses ont été décortiqués et enregistrés de façon à obtenir des données comparables. Seul le poste de parking n’a pas été pris en compte, car sur ce sujet ce sont plus les coûts immobiliers d’une ville à l’autre qui vont jouer, et chacun saura ajouter ce qui lui convient.
Après une vente en demi-teinte lors des Grandes Heures Automobiles en septembre, la Maison Aguttes nous présente à Lyon ce weekend une sélection hétérogène dans laquelle de nouvelles pièces méritent peut-être que l'on s'y attarde. En attendant d'aller sur place pour vous donner la température, voici notre short-list.
3 enseignements majeurs de notre enquête auprès des collectionneurs et 7 études de cas réels pour expliquer les facteurs qui déterminent le coût d’utilisation d’une voiture plaisir.
Faites l’essai de chercher « coût utilisation voiture collection » sur un moteur de recherche ! Autant vous trouverez quantité de littérature sérieuse concernant les véhicules neufs, du fameux PRK de l’Argus aux analyses détaillées des sociétés de leasing ou des revues spécialisées. Autant concernant les automobiles de collection, l’approche se révèle en générale très sommaire, les magazines spécialisés se contentant de lister le coût de quelques pièces de rechanges et les périodicités d’entretien.
La vente automobile organisée samedi 21 octobre à Fontainebleau par maître Osenat envoie un signal positif au marché après plusieurs mois de ventes aux résultats médiocres. D'abord parce que 33 des 38 autos présentées ont été adjugées. Ensuite parce que les prix constatés au marteau attestent bien d'un retour à la normale du marché après un cycle haut. Enfin parce qu'il n'y avait pas que des pièces de concours restaurées plus neuves que neuves, mais aussi de belles voitures entretenues et intéressantes.
La nouvelle taxe de luxe pour les véhicules de plus de 36 cv fiscaux ne touchera pas les véhicules immatriculés en carte grise collection. C'est le résultat des discussions qui ont eu lieu entre la FFVE et les pouvoirs publics.
Saluons ce geste qui épargnera aux collectionneurs une pression fiscale qui aurait été sans rapport avec la valeur de marché des véhicules anciens notamment certaines américaines.
Rappelons aussi que le fait de passer en CG collection ne limite en rien l'usage du véhicule aussi bien national qu'à l'étranger. La seule restriction existante concerne les assurances pour celui qui souhaiterait s'assurer en déplacements professionnels, ce qui reste sans doute marginal (en précisant que de nombreux assureurs proposent désormais le trajet-travail en CG collection).
La vente de prestige organisée par la maison Aguttes à l'occasion des Grandes Heures Automobiles indique à nouveau, après d'autres ventes cette année, que le marché est redevenu exigeant. La prime à la rareté paie toujours, et légitime bien le rôle des maisons d'enchères. Mais l'ordinaire ou le moyen restent dans les paddocks.
Rouler avec une automobile « passion » peut-il se conjuguer avec un investissement raisonné ? Certainement, à condition de ne pas subir les tendances mais les anticiper. Retour sur leurs évolutions, et ce qu’il faut en retenir pour qui veut construire sa collection.
Années 70, quand tout a commencé. Autoroutes, course à la modernité. Vitesse. Qui voulait d’une voiture d’avant-guerre tout juste bonne à faire de la figuration à l’arrière-plan d’une scène campagnarde dans un film noir ?
La De Tomaso Pantera est emblématique d’une époque où quelque passionné talentueux pouvait, en moins de temps qu’il n’en faut pour l’écrire, réunir les talents de pilotes, ingénieurs et industriels, pour mettre au monde une machine de route proprement incivilisée et terriblement désirable. Pourquoi la Pantera est-elle la plus réussie des cocktails italo-américain des années 70 ?
Pour comprendre la genèse de la Pantera il faut resituer Alejandro de Tomaso, son créateur, dans son environnement d’alors. Argentin d’origine, il pilote entre autres des Maserati et des OSCA lors de courses d’endurance comme les 12 heures de Sebring, les 1000 km du Nürburgring entre 1956 et 1960.
Les mythes se construisent avec le temps. Les constructeurs britanniques en savent quelque chose. A l’heure où Jaguar refabrique à neuf des modèles historiques tels la XKSS ou la Type E lightweight, il est encore possible d’acquérir une Morgan 4/4 millésime 2017 produite selon un processus immuable depuis 1936. Au-delà de son charme vintage, quels sont les secrets de ce roadster qui a vu naître et disparaître nombre de faiseurs d’autos ?
Si le succès de la classique Morgan 4/4 ne se dément pas depuis 81 ans, c’est que le cahier des charges d’origine doit être juste ! Construire une bonne voiture de sport abordable. C’est toujours écrit ainsi sur le site internet du petit constructeur de Malvern.
Sommes-nous arrivés à une nouvelle étape de blocage du marché comme en 1991 ? Plusieurs indicateurs peuvent le laisser penser. Le nombre de voitures retirées des ventes aux enchères, les délais de transaction et les montants réellement payés parfois assez éloignés de ceux affichés. Pour autant le marché regorge d’opportunités car il n’y a jamais eu autant de collectionneurs et d’investisseurs. C’est le moment d’être clairvoyant et de revenir sur les fondamentaux de la collection.
Entre Italie, France et Allemagne s’est écrite une histoire sulfureuse, celle d’une des marques automobiles à la fois la plus emblématique et la plus rare : Bugatti. Pourquoi l’histoire de la première résurrection de Bugatti au début des années 90 a-t-elle été si fugace ?
L’histoire commence comme souvent en Italie avec un homme d’affaire passionné de belles mécaniques et client de la marque au petit cheval. Plus que client, concessionnaire même, dirigeant avec succès l’une des plus grosses concessions de la marque à Bolzano ! En 1987, Romano Artioli fait donc le rêve de faire renaître Bugatti et acquiert les droits d’exploitation de la marque jusqu’alors détenus par la SNECMA et sa filiale MESSIER-BUGATTI.
Modèle du renouveau pour Aston Martin à sa sortie en 1994, la DB7 est encore jeune. Pour autant, il ne faut pas tarder à s’y intéresser. Ligne d’une élégance intemporelle, moteur à la voix de sirène, ambiance club : c’est une auto bien née et son badge lui confère un profil de cote atypique.
La sortie du purgatoire n’est pas bien loin pour celle qui a parfois été qualifiée de « modern-day E type » à sa sortie outre-manche, en raison des similitudes de style de sa partie arrière avec la célèbre Jaguar.
L’Aston Martin DB7 est la première Aston qui n’est plus fille d'Aston ! Comprenez par là qu’elle a été conçue après la reprise d’Aston Martin par Ford en 1987. Commençons tout de suite par ce qui a pu déranger lors de sa première présentation.
Le salon Rétromobile a été cette année encore l'occasion pour les maisons d'enchères d'organiser des ventes prestigieuses. Pas moins de 3 ventes ont eu lieu : RM Auctions – Sotheby’s le 8 février, Bonhams le 9 février et Artcurial à Rétromobile le 10 février. Trois occasion de voir de très belles automobiles et de prendre le poul du marché des classiques.
Le rendez-vous annuel des collectionneurs et amateurs d'automobiles classiques est l'occasion de faire un point sur le marché et les dernières tendances.
L'édition 2017 de celui qui est le plus ancien salon dédié aux voitures de collection se montre fort intéressante avec notamment une exposition dédiée aux Ferrari de compétition et de route.
Retrouvez quelques images de nos coups de coeur au hasard des stands dans la galerie photo ci-dessous.
Nombre fétiche porte-bonheur dans la culture chinoise, le 8 semble également réussir à la noble maison de Maranello qui a inauguré avec la 308 une famille de berlinettes plus abordables que ses traditionnelles GT à 12 cylindres. Tout juste 40 ans après ses premières livraisons, il est temps de s’intéresser à l’héroïne de la série télévisée Magnum. Que cache-t-elle derrière ses lignes si glamour ?
La Ferrari 308 est en réalité le second coup de downsizing de Ferrari après les Dino 206/246 GT qui ont prouvé qu’un plus petit moteur dans une voiture plus légère font merveille pourvu que le châssis soit à la hauteur.
La BMW série 6 (E24) a fêté ses quarante en toute discrétion. Ce coupé puissant et sûr a pourtant fait tourner les têtes lors de sa présentation à Genève en 1976, devenant le porte-drapeau de la gamme BMW. Son succès commercial durant sa longue carrière jusqu’à son remplacement par la série 8 en 1989 ne s’est pas démenti. Elle représente certainement encore aujourd’hui la quintessence du savoir-faire de BMW : moteurs 6 cylindres en ligne à l’élasticité et la mélodie inimitables, design conjuguant le muscle et l’élégance, grande polyvalence d’usage. Avec la maturité, deviendra-t-elle une BMW de choix en collection ?
La série 6 s’inscrit dans une séquence de design fondatrice d’une nouvelle génération de BMW. Le Français Paul Bracq est aux commandes du design du constructeur bavarois de 1970 à 1974.
Après un long purgatoire automobile, sa côte retrouve un horizon de confiance depuis 3 ans, aux alentours de 20-25000 €, pour de très beaux spécimens. La plus premium des Citroën contemporaines rejoindra-t-elle ses cousines transalpines au panthéon des grand tourisme ?
Inclassable ! Encensée à sa sortie, la presse spécialisée découvre en 1970 une voiture capable de tenir le 200 de moyenne sous la pluie en toute sécurité et vendue plus chère qu'une Porsche 911.
Nous analysons le marché au quotidien dans ses multiples dimensions : automobiles en ventes, résultats des enchères, manifestations des clubs... Il existe de nombreux outils pour suivre les cours des voitures de collection. Des revues de référence comme La Vie de l’Auto publient depuis plus de 30 ans des côtes sur les principaux modèles. Les maisons de ventes aux enchères mettent en ligne le résultat des ventes d’automobiles. La société Historic Automile Group Ltd. publie l'indicateur de référence HAGI® sur la côte des voitures de collection. C’est ainsi que comparé à d’autres biens mobiliers, les voitures de collections sont ceux qui montrent la plus forte croissance en valeur sur les 10 dernières années (+490%) et même sur les 5 dernières années (+162%).
Nous publions régulièrement sur notre site des articles d'analyse sur des modèles à suivre, mais nous réservons à nos clients la primeur des conseils d'investissement sur les automobiles dont la valeur est la plus susceptible de progresser les prochaines années.
Vous pouvez nous contacter pour une première présentation de notre méthode de travail, sans aucun engagement.